Ici c’est ce qui est le plus compliqué, avec une maman hôtesse, un beau père steward et un enfant à mi-temps C’est le cadeau parfait à offrir à maman, aux grands parents, aux frères et soeurs. Une fois le rendez-vous pris, le professionnel organise la séance photo. Il a l’habitude, il sera patient et plein de bons conseils Une jupe Ce costume d'hôtesse de l'air pour femme est monté sur élastiques. Il s'agit donc d'une taille unique femme. Pour compléter le Déguisement Hôtesse de l'air . PROMO Perruque Carrée - 11 Coloris au Choix. 11,39 € » Voir Ajouter au Duniveau d'un gosse de 5 ans. BIEN faire sa valise ? Requiert deux-trois conseils d'une hôtesse de l'air expérimentée. Ça tombe bien, on en a chopé une entre deux vols. Jette un oeil à l'article du jour de Tapage, il pourrait t'intéresser ! Recevez du power, des idées, des cadeaux dans votre boîte mail. I'm in ! Télécharger l'application. Bien faire sa valise selon une hôtesse de Lesvoyageurs de cet avion sont encore stressés et veulent une hôtesse de l’air rapide et efficace, alors tu dois honorer toutes les commandes le plus rapidement possible. Pour cela, dès que tu aperçois une image à côté d’un voyageur, tu vas aussitôt chercher en cuisine le plat demandé. Conseils, si tu as plusieurs plats en même temps, prends-en plusieurs à la fois Cadeauhomme cadeau femme 2022 Sexy hôtesse de l'air policière uniforme lingerie sexy discothèque bar costume de performance MY94332 - code S pas cher En utilisant Rakuten, Hôtesse Idées gourmandes. Marjolaine Arcand . 13 décembre 2019 Lire ses articles. Imprimer cet article; Partager. 912. On cuisine, on emballe le tout dans un papier transparent ou un joli petit pot de verre, on y attache une corde de jute et branche de sapin, et hop, c’est réglé! 1. Des petits pots de caramel . On vous dévoile la recette de caramel la plus facile OeDmvrU. En savoir plusChapeau d'hôtesse de l'air femmeUne véritable hôtesse !Ce chapeau bleu marine d'hôtesse de l'air est orné d'un logo représentant une étoile blanche entourée de deux ailes accessoire sera idéal pour compléter votre déguisement d'hôtesse de l'air lors d'un Carnaval ou d'une soirée déguisée. Livraison Olivia a exercé pendant plusieurs années le métier d’hôtesse de l’air. Loin des clichés, elle nous raconte cette vie à cent à l’heure, entre Tokyo, Los Angeles et Buenos Aires, où elle ne s’occupait clairement pas que de décapsuler ton Coca. Qui aurait cru qu’une jeune diplômée en communication puisse un jour devenir hôtesse de l’air dans la plus grande compagnie nationale ? En tout cas pas moi, et pourtant ! Devenir hôtesse de l’air, un rêve d’enfant qui a bien failli ne jamais avoir lieu ! Tout a commencé quand, plus de dix ans en arrière, j’en ai eu marre de ne pas réussir à décrocher d’emploi stable dans la communication à l’époque, j’enchainais les stages et j’étais payée la misère… Autant dire que ça va bien un moment, mais j’aspirais à autre chose que ça. D’autant plus que certains collègues étaient en stage depuis plus de dix ans il était hors de question que je vive la même chose ! J’avais besoin de me trouver professionnellement. Et c’est alors que j’ai eu l’idée du siècle pourquoi je ne deviendrais pas personnel navigant commercial », c’est-à-dire hôtesse de l’air ou PNC, dans le jargon du métier ? Littéralement être appelée par sa vocation En effet, depuis toute petite, comme je suis italo-française et que je parle couramment anglais, de nombreuses personnes me disait Tu devrais être hôtesse de l’air, tu pourrais voyager, tu parles tellement de langues ! » Alors forcément, ça avait dû s’ancrer dans un petit coin de ma tête. En plus ma cousine, dont je suis très proche, est elle aussi PNC, mon papa était pilote de chasse, et je voyage depuis que je suis en âge de vagabonder… Autant dire qu’on avait l’aviation en intraveineuse dans la famille ! À lire aussi Ces métiers qui me font de l’oeil Hôtesse de l’air il ne suffit pas de mettre un tailleur et de savoir ouvrir des canettes Et non ! En France, pour devenir PNC, il faut avoir une formation reconnue par l’État. Tout d’abord, il faut passer une visite médicale très très poussée, dans un centre agréé. Pour moi, elle s’est passée à Percy, à l’hôpital militaire, autant vous dire que ça ne rigole pas ! Ensuite, en tout cas à l’époque où j’ai passé mon CSS certificat de sécurité et de sauvetage, le nom a changé depuis, il y avait du théorique et du pratique. Une fois ces deux parties obtenues, il restait à faire un stage ouiiii, encore un ! de 60 heures de vol pour valider le CSS et obtenir le précieux sésame ! Aujourd’hui, ce stage n’existe plus et je trouve ça bien dommage car, pour ma part, j’ai connu des gens qui voulaient devenir PNC sans avoir jamais volé de leur vie, ou qui s’imaginaient prendre l’avion comme le métro… Je ne vous dis pas la surprise ! En effet, pour la plupart des gens, être navigant se résume à voyager beaucoup, siroter des cocktails en bord de plage, rester une semaine dans un endroit paradisiaque et servir des plateaux repas dans un avion. La vérité est tout autre, croyez-moi ! Ce que j’ai envie de faire à tout les gens qui pensent qu’on ne sert qu’à pousser le trolley des boissons chaudes C’est un métier qui demande une très grande aptitude physique vous ne pouvez pas travailler à 30 000 mètres d’altitude, dans une atmosphère pressurisée, debout dans une boîte de sardines avec 300 passagers à bord de jour comme de nuit sans avoir une santé de fer, une adaptabilité à toute épreuve, et une gestion du stress sans nulle autre pareille. Car oui, on ne fait pas que servir des plateaux repas la section commerciale du vol n’est que la partie émergée de l’iceberg, mais on est aussi en charge de la sécurité et de la sûreté à bord d’un avion. À lire aussi Je suis sportive de haut niveau — Témoignage En fait, c’est quoi être hôtesse de l’air ? Concrètement, en tant que PNC, nous devons être prêt•es pour toute situation d’urgence un atterrissage ou un amerrissage d’urgence, un feu ou de la fumée à bord, un problème technique… C’est nous qui sommes responsables ! Nous devons assurer également le bien-être des passagers. Les malaises, les crises cardiaques, les accouchements… Nous devons être prêt•es à répondre à toutes ces éventualités ! Ouais, je sais, c’est plutôt classe, ouais » Un•e PNC est formé•e à tous ces types de situations, de façon très poussée vous apprenez les bases pendant votre formation la fameuse partie pratique » et lorsque vous entrez dans une compagnie aérienne, vous êtes formé•es selon les standards de la compagnie et en fonction de l’avion sur lequel vous travaillerez et sur lequel vous serez qualifié•e ». Ensuite, une fois par an, vous repartez en formation faire ce qu’on appelle un recyclage » de compétences, qui vous remet en tête toutes les bonnes choses à savoir. C’est un métier qui demande beaucoup de sang-froid et c’est avec l’ancienneté et l’expérience qu’on apprend et qu’on maîtrise de mieux en mieux chaque geste et situation. Et puis c’est un métier qui vous oblige à vivre en décalage avec votre petit monde oubliez les jours fériés, les anniversaires, les fêtes de Noël en famille… Moi, je ne compte plus les jours où j’étais partie alors que mes amis fêtaient tel ou tel événement, les 25 décembre loin des miens ou les moments importants que j’ai ratés. À l’époque, j’étais célibataire et sans enfant, donc ça n’avait pas un impact immédiat dans ma famille. Mais dans tous les cas, c’est très compliqué de concilier ce métier avec une vie privée il y a beaucoup de divorces dans la profession, ou alors ce sont souvent des couples de navigants qui connaissent donc bien les contraintes de chacun. Bien sûr, il y a aussi quantité de couples qui résistent, et heureusement ! Mais ça n’est pas toujours simple. Votre vie s’organise en fonction de vos vols et de vos rotations et ce n’est pas toujours facile ni marrant, mais c’est comme ça. À lire aussi 3 idées de playlists pour gérer le stress Hôtesse de l’air, un métier bien plus physique qu’il n’en a l’air Sans compter la fatigue physique ! Par exemple, sur les vols courts et moyen-courriers, vous êtes souvent debout à 3/4h du matin, pour une journée de travail intense où vous ferez plusieurs tronçons avant de dormir quelque part en Europe ou en France, et ce pendant 3 à 5 jours en moyenne. Pour les long-courriers, c’est surtout les nuits blanches sur les vols de retour qui sont difficiles, et le décalage horaire qui tuera votre sommeil ! La clé pour tenir est d’avoir une hygiène alimentaire irréprochable je vous conseille de faire du sport, de manger sainement alors bien sûr, en escale, il faut aussi savoir se faire plaisir !, il faut aussi essayer de dormir les jours de repos… Sans quoi vous ne tiendrez pas longtemps dans ce métier. Il faut également être une organisatrice hors pair, faute de quoi vous allez être vite être dépassé•e par ce travail qui vous oblige à être loin de la maison 15 jours par mois. Pour ce qui est des escales de plus d’une semaine, ça aussi c’est du temps passé et révolu… Fini la belle époque où l’on partait deux semaines à Rio et 10 jours à Hong-Kong ! Le mot d’ordre étant la productivité, la plupart du temps, on ne reste que 24h/48h dans un endroit, quelques exceptions existent, mais cela excède rarement les 5 jours. Alors bien sûr, que ce soit pour 24 heures ou plus, être au bout du monde est une chance. Vous réveiller à Times Square ou à côté de la place Rouge, vous promener dans les rues de Bangkok, manger des empanadas à Buenos Aires, prendre l’apéro à l’Île Maurice… ça fait rêver et c’est une réalité que j’ai vécue ! Viens par là petit mojito ! Je savoure ma chance et je sais que, grâce à ce métier, j’ai pu faire le tour du monde plusieurs fois, découvrir des choses et des endroits que je n’aurais certainement pas pu voir autrement, mais au prix aussi de certains sacrifices, et parfois d’un sentiment de solitude. C’est le prix à payer pour exercer ce métier ! À lire aussi L’Île Maurice, entre multiculturalité et communalisme — Carte Postale Ce que ce métier si particulier d’hôtesse de l’air m’a appris J’ai eu la chance d’être PNC dans une grande compagnie nationale et de voyager beaucoup. Malheureusement, un accident du travail m’a obligée à arrêter ce métier, que je ne peux plus exercer. Depuis, je suis dans les ressources humaines et la communication, et je recherche un emploi depuis un an j’ai été licenciée suite à mon inaptitude physique et faute de reclassement. Mais après mon accident, j’ai travaillé au sol » comme on dit dans le jargon je m’occupais des collègues qui, comme moi, perdaient leur licence de vol suite à un accident du travail et qui étaient en reclassement interne ou externe. C’est très compliqué de passer de ce métier à une nouvelle vie et il y a vraiment un deuil » à faire, qui n’est pas vraiment évident ! En revanche, comme je suis désormais en couple, j’ai aussi plus de temps à accorder à mon chéri et je peux voyager avec lui ! Donc au final, j’ai certes perdu un métier que j’adorais mais je peux aussi vivre des choses qui étaient auparavant beaucoup plus compliquées oui, je suis une incorrigible optimiste !. Le vrai avantage de ma reconversion Et puis je garde en mémoire tous ces voyages, le travail accompli, les nuits blanches dans un galley — compartiment dédié aux plateaux repas — à rire avec les collègues et à refaire le monde… J’ai appris beaucoup sur moi et sur les autres en faisant ce métier, qui m’a changée et qui m’a transformée à tout jamais. Aujourd’hui, je garde un profond attachement pour ces hommes et pour ces femmes dont je connais la pénibilité du travail. J’ai aussi appris qu’on ne peut pas exercer ce métier sans en connaître les difficultés, se dire tiens, je vais devenir PNC » un matin comme ça sans avoir pesé franchement les pour et les contre en amont. Quand on a la vocation, c’est encore mieux, et j’en parle en connaissance de cause parce qu’il m’a fallu un vrai temps d’adaptation, moi qui me destinais à une tout autre carrière au départ. Mais j’ai ce boulot dans la peau, c’est pour ça que j’ai ouvert mon blog il y a quelques années, parce que je n’arrivais pas vraiment à couper les ponts, et qu’il me permet de continuer à garder le contact avec ce beau métier ! Alors si vous souhaitez en connaître un peu plus sur la vie de navigant et sur ma petite expérience, c’est par là ! À lire aussi J’ai tout quitté pour faire le tour du monde — Témoignage Témoignez sur Madmoizelle ! Pour témoigner sur Madmoizelle, écrivez-nous à [email protected] On a hâte de vous lire ! l'essentiel En temps normal, Jezabel est hôtesse de l'air à "La Compagnie", spécialisée dans les voyages affaires entre Paris et New York. Clouée au sol à cause de la crise sanitaire, cette Toulousaine en profite pour créer sa gamme de sacs à main à partir de la toile de jute qui enveloppe les grains de cafés. Durant et après le confinement, Jezabel Cherif-Bahia s’est découvert des talents cachés de créatrice, décoratrice et couturière. Hôtesse de l’air à "La Compagnie", laquelle effectue des liaisons aériennes 100 % business, entre Paris et New York, Jezabel s’est retrouvée clouée au sol, du jour au lendemain. Et l’est toujours "vu que la ville de New-York reste fermée". Qu’à cela ne tienne, cette Toulousaine de 35 ans a décidé de mettre à profit le temps qui lui était offert pour se lancer dans la création de coussins et de cabas, taillés dans la toile de jute de sacs de café. Et mine de rien, Jezabel en profite à nouveau pour voyager puisqu’elle redécoupe et coud des sacs qui proviennent du Kenya, Ethiopie, Colombie, Vietnam, Mexique,… "Quand, je les ouvre, il n’est pas rare que je trouve encore quelques grains de café", se réjouit la créatrice. Installé sur le bureau de son appartement, Jezabel fait tourner à plein régime sa machine à coudre Singer pour réaliser de magnifiques sacs à main – ronds, carrés, rectangulaires – et des cousins, qui reprennent les inscriptions et les dessins imprimés dans la toile de jute. Ensuite, elle les double à l’intérieur, avec des coupons de tissus achetés ici et là. "Ce qui m’intéresse, c’est de donner une seconde vie à ces sacs de café qui sont souvent magnifiques, sachant que beaucoup les jettent", poursuit la créatrice. Où les trouve-t-elle ? "Partout, sur le bon coin, chez les torréfacteurs. Chaque sac est unique, je ne peux pas retrouver le même tissu ailleurs". "C’est inattendu" Jusqu’au repos imposé par le confinement, Jezabel n’avait jamais touché une machine coudre. "J’ai pris des cours intensifs en juillet et août. Je ne pensais pas avoir toute cette créativité en moi", s’étonne-t-elle. Aujourd’hui, au chômage partiel, l’hôtesse de l’air se voit continuer cette activité même quand elle aura recommencé à voler. "J’adore ça, même si je travaille beaucoup, et même plus que quand je suis hôtesse, et j’ai plein d’idées." Vendus entre 50 et 65 €, ses sacs sont disponibles sous la marque "Grains_2_Folies" sur Facebook et Instagram. "Depuis un mois et demi, j’en ai vendu une vingtaine. À présent, je prépare des stocks pour les cadeaux de fin d’année. Je suis à fond." Avec cette nouvelle activité, Jezabel se sent désormais pousser des ailes. Je vous en parlais lundi, lors d’un atelier beauté très particulier chez Gloss Up Paris, j’ai eu l’immense privilège de partager ma soirée avec deux hôtesses de l’air françaises basées à Dubaï. Laure, hôtesse de l’air chez Emirates depuis bientôt 3 ans a accepté de répondre à mes questions entre deux coupettes et trois petits fours. Qui êtes-vous Laure ? Bonjour à toutes les lectrices d’All around the Girl je m’appelle Laure, j’ai 31 ans. Je viens d’une petite ville appelée Concarneau dans le Finistère et je vis aujourd’hui à Dubaï où je travaille pour Emirates depuis presque trois ans. Quelle est la formation obligatoire pour devenir PNC ? Avant de pouvoir intégrer n’importe quelle compagnie française il faut impérativement obtenir son Certificat de Formation à la Sécurité. Une fois mon CFS en poche, je visais plutôt les compagnies aériennes basées en France mais le destin a fait que c’est vers Dubaï que je me suis envolée. Lorsque les nouvelles hôtesses arrivent à Dubaï, une formation intense de deux mois équivalente au CFS est obligatoire. Durant cette formation nous revoyons en profondeur tout ce que nous avons déjà appris dans nos pays respectifs. Durant ces deux mois, nous devons également assister à deux jours entiers de formation consacrés à notre look. Un jour durant lequel nous apprenons à nous faire belle et un jour consacré à nos tenus. Nous apprenons comment porter l’uniforme Emirates, comment l’entretenir. Notre look doit être plus qu’irréprochable ! En travaillant pour Emirates, vous devez habiter dans les Emirats. Qu’est ce qui vous plaît le plus dans votre vie à Dubaï ? Étant bretonne d’origine le soleil me manquait un peu et maintenant c’est la pluie qui me manque rires ! C’est vrai qu’il fait très beau à Dubaï et c’est vraiment bon pour le moral. Le simple fait d’ouvrir ses rideaux au réveil et découvrir ce beau soleil c’est vraiment agréable ! En revanche, les trois mois d’été sont assez difficiles. Bien que tous les lieux publics soient climatisés, la chaleur reste vraiment pesante. Quel est votre rituel durant vos voyages pour rester belle et reposée ? Je pense qu’il faut tout simplement s’écouter, apprendre à écouter son corps. Lorsque je vole, je peux tout à fait atterrir dans un pays à 3h du matin alors que dans mon pays d’origine il est 14h. Ce n’est pas pour autant que j’irai me coucher. J’irai sûrement manger, sortir ou même faire du sport jusqu’à ce que je trouve le sommeil. Vous le vivez comment le jet lag au quotidien ? Les six premiers mois chez Emirates sont un peu difficiles puisque notre corps doit s’habituer à ce rythme décalé et les hôtesses sont souvent déphasées durant cette période. Cela prend du temps de trouver son rythme mais on s’y fait relativement vite. Les bas de contention c’est pas hyper glamour. Pour ou contre ? rires Non c’est sûr que c’est pas hyper glamour mais lorsque l’on vole régulièrement il faut prendre soin de soi et faire attention à sa circulation est vraiment important. Pour ma part je porte des bas de contention assez jolis, loin de ceux qui rappellent ceux de nos grand-mères. Toujours garder le sourire en vol c’est facile ou quelques craquages peuvent arriver ? Cela dépend des personnalités. Certaines hôtesses ont plus tendance à sourire que d’autres. Je pense qu’il vaut mieux ne pas sourire plutôt que d’en faire un faux. Nos supérieurs nous rappellent régulièrement que le sourire est important. Que l’on soit fatiguées ou énervées, nous faisons un métier de service et les passagers sont notre priorité alors il faut parfois prendre sur soi. Une anecdote à nous raconter ? On a parfois des demandes surprenantes comme cette femme qui voulait absolument du stick à lèvres. À bord les passagers se comportent différemment un peu comme s’ils perdaient toutes notions des choses simples. Certains peuvent passer plusieurs minutes à comprendre comment ouvrir la porte des toilettes. Que se passe-t-il si vous arrivez quelques minutes avant de monter à bord avec un vernis écaillé et un rouge à lèvres violet ? Avant chaque vol nous avons un “Grooming Check” durant lequel chaque hôtesse est examinée dans le détail. Coiffure, ongles, uniforme, tout est passé à la loupe. Avant d’embarquer, nous devons respecter les codes Emirates alors non un rouge à lèvres violet ne passera pour rien au monde ! Il doit être rouge, rien d’autre. Si votre vernis est mal fait, vous avez une seconde chance pour le rattraper mais si vous n’êtes pas prête dans les temps vous ne volerez pas et une hôtesse en standby prendra alors votre place. Le métier d’hôtesse de l’air fait fantasmer beaucoup d’hommes. Pourquoi d’après vous ? C’est une bonne question rires ! Il faudrait peut-être poser la question aux hommes directement ! C’est vrai qu’en étant hôtesse de l’air nous essayons toujours d’être au meilleur de nous-mêmes, toujours bien maquillées et bien coiffées. Je pense que l’uniforme fait aussi son petit effet. Être hôtesse de l’air et avoir une vie de couple c’est compatible ? C’est compatible mais c’est pas évident surtout lorsque l’on vit dans un pays étranger puisque les relations à distance sont assez difficiles à entretenir. Il y a quand même chez Emirates des hôtesses qui sont mariés et qui ont des enfants. Le tout est de bien savoir s’organiser. Les compagnies émiraties sont reconnues mondialement pour leur service d’excellence. Qu’est ce qui, d’après vous, fait la différence avec les autres ? Chez Emirates, après chaque vol nous recevons un feedback de nos supérieurs. Tout ce que nous n’avons pas fait correctement durant le vol est pointé du doigt dans le but de nous faire progresser et de mettre l’accent sur nos faiblesses. Ce système de feedback peut-être mal perçus dans les premiers mois puis on réalise que cela nous aide vraiment à nous améliorer. Lorsque je reviens à Paris, je ne peux m’empêcher de comparer la qualité du service français que je trouve de plus en plus déplorable. Certaines personnes à qui j’ai eu à faire récemment mériteraient d’avoir quelques feedback ! Chez Emirates on ne se permettrait pas certaines choses que des employés de service se permettent en France ! Qu’est ce qui vous motive à vous lever chaque matin ? “Chaque matin” ne veut plus rien dire pour moi rires ! Nos “matins” peuvent être des nuits ou des après-midi puisque l’heure de notre réveil varie selon les vols que l’on assure. Ce qui me motive à me lever c’est la destination vers laquelle je m’envole et les personnes que je vais rencontrer durant le vol. C’est un perpétuel renouveau. Où vous voyez-vous dans dix ans ? C’est une excellente question mais je ne suis malheureusement pas la bonne personne à qui il faut la poser parce que je suis quelqu’un qui vis au jour le jour. Pour moi, faire des projets sur un mois relève déjà de l’exploit donc dans 10 ans je n’ai aucune idée de ce que je ferai ni d’où je serai. Avec tous les pays que vous visitez, avez-vous toujours la même excitation lorsque vous découvrez une ville ? C’est vrai qu’on recherche toujours l’excitation de la première fois. Après presque trois ans chez Emirates j’ai voyagé vers beaucoup de destinations. Lorsque je retourne dans un pays que j’ai apprécié cela reste agréable mais on recherche constamment la nouveauté. Quel est le type de cuisine que vous préférez ? Je vais être un peu chauvine mais je dirais la cuisine française. Après avoir goûté à tous types de cuisine à travers le monde, la gastronomie française reste pour moi la meilleure. Un pays qui vous touche particulièrement ? J’ai beaucoup aimé le Japon avec sa culture très intéressante un brin décalé. Les japonais ont une forte notion de respect que j’admire beaucoup. Cette façon qu’ils ont de s’adresser les uns aux autres me touche. Vous écoutez quoi comme musique entre deux avions ? Lorsque je m’apprête à voler j’écoute de la musique qui motive. De la house par exemple. En ce moment j’aime beaucoup Jubel de Klingande. En plus c’est un français ! En revanche, lorsque je rentre d’un vol, j’écoute plutôt de la musique douce et calme pour ménager mes tympans. Un conseil à donner aux lectrices qui ont une peur bleue de l’avion ? Ça ne sert à rien d’avoir peur, ça n’empêche pas le danger. Beaucoup de passagers boivent de l’alcool pour éviter de stresser mais c’est loin d’être la meilleure des solutions. En voyageant avec Emirates, tes lectrices peuvent se rassurer et voyager en toute sérénité. Nos avions sont très récents et nous n’avons jamais eu d’accidents. Personnellement je ne pense jamais à l’éventualité d’un accident sinon je n’irais même pas travailler ! Merci Laure, bonne continuation ! Merci à toi pour cette interview et à bientôt sur les lignes d’Emirates. >> Pour celles d’entre vous qui souhaiteraient tenter l’expérience Emirates, de nombreuses journées de recrutement se déroulent un peu partout en France. Le calendrier c’est par ici Shawn Kathleen est une ancienne hôtesse de l’air pour une compagnie américaine. Choquée par les incivilités de certains passagers, elle ouvre une chaîne YouTube et un compte Instagram pour les dénoncer. Image d’illustration Publié 3 février 2019 à 18h00 Temps de lecture 1 min Pieds nus sur ou entre les sièges, queues de cheval qui dépassent des sièges, nourriture par terre, exhibitionnisme… Shawn Kathleen une ancienne hôtesse de l’air pendant une décennie a vu de nombreuses incivilités durant sa carrière. Elle a été tellement choquée par ces agissements qu’elle a décidé de créer sa propre chaîne sur les réseaux sociaux afin de montrer au grand jour ce que les gens osent faire lors de certains vols. Des photos et vidéos plus choquantes les unes que les autres qui dénoncent les nombreux passagers sans gêne. Mais, malheureusement pour elle, son compte passengershaming est devenu très populaire et son employeur s’est vu être contraint de la renvoyer car elle donnait une mauvaise image de la compagnie ». Instagram BtTdZngnyq1 Instagram BgOXimEhpn0 Instagram Bo108FChwxX Instagram Bsl7K9On8Jl Instagram BrBe-d2ny3P Instagram BjH50pxhmwj Lire aussi Sécheresse Que sont les pierres de la faim qui refont surface ? Un ministre canadien avale une abeille en pleine conférence de presse En Gironde, lancement des championnats du monde de boomerang

cadeau pour une hotesse de l air